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ertains géants horlogers décident de prendre le contrôle en solo, de la production (manufacture) à la distribution (boutiques en propre et e-commerce) en passant par la diffusion de l’information, dont l’organisation de leurs propres événements. D’autres poids lourds plaident pour un partage des tâches, en restant fidèles à des salons généralistes, en approfondissant leurs liens avec des détaillants multimarques ou encore en soutenant le travail de médias indépendants. Entre ces deux lignes, une bonne majorité d’acteurs semble toujours hésiter sur l’approche à adopter, avec des lignes de partage qui peuvent traverser certains groupes aux marques bien différentes.